Cycle de vie Communication et publicité Commercialisation La publicité pour des médicaments désigne toute forme de communication visant à promouvoir la prescription, la délivrance, la vente ou la consommation de médicaments vétérinaires. Exemple des anti-inflammatoires fiables, avec peu d’effets secondaires : Mal connus du public, ils permettent de maîtriser de façon effective et durable la douleur arthrosique. Le rôle du marketing, dans ce cas, est de faire savoir à tout propriétaire de chien qui souffre que son vétérinaire dispose de solutions. La publicité pour des médicaments désigne toute forme de communication visant à promouvoir la prescription, la délivrance, la vente ou la consommation de médicaments vétérinaires. Exemple des anti-inflammatoires fiables, avec peu d’effets secondaires : Mal connus du public, ils permettent de maîtriser de façon effective et durable la douleur arthrosique. Le rôle du marketing, dans ce cas, est de faire savoir à tout propriétaire de chien qui souffre que son vétérinaire dispose de solutions. Principes généraux de la publicité pour le médicament vétérinaire Selon le CSP Toutes les publicités Informer les professionnels de la santé animale pour une meilleure connaissance du médicament vétérinaire Pendant la vie commerciale du médicament La formation continue Une demande croissante d’informations techniques Une communication fondamentale pour la santé et le bien-être animal Elle contribue à : l’efficacité du traitement (à la guérison de l’animal malade ou la protection des animaux sains), la sécurité de l’animal lui-même mais aussi celle du consommateur, à la bonne observance du traitement. L’information des professionnels de la santé animale leur permet de choisir de façon optimale les thérapeutiques les plus adaptées, avec le moins d’effets secondaires, pour une action la plus ciblée possible et la plus rapide. Elle contribue par là même au bien-être de l’animal. Une communication fondamentale pour la santé et le bien-être animal Elle contribue à : l’efficacité du traitement (à la guérison de l’animal malade ou la protection des animaux sains), la sécurité de l’animal lui-même mais aussi celle du consommateur, à la bonne observance du traitement. L’information des professionnels de la santé animale leur permet de choisir de façon optimale les thérapeutiques les plus adaptées, avec le moins d’effets secondaires, pour une action la plus ciblée possible et la plus rapide. Elle contribue par là même au bien-être de l’animal. Bonnes pratiques de communication Outre les dispositions réglementaires, les laboratoires adhérents s’engagent à respecter les recommandations du SIMV (Syndicat de l’Industrie du Médicament et Diagnostic Vétérinaires) concernant leur communication produit. L’instruction des demandes s’effectue au sein d’un «observatoire de la publicité» selon trois étapes : recevabilité du cas, examen des griefs par rapport aux textes juridiques et aux recommandations, appréciation de la qualité de la réponse de la société concernée. Les observateurs sont «formés» six mois avant de devenir «titulaires» pour six autres mois. Ils sont choisis par les adhérents eux-mêmes. Les recommandations qui en découlent sont rassemblées dans le «Guide des bonnes pratiques de communication en matière de médicament vétérinaire». Bonnes pratiques de communication Outre les dispositions réglementaires, les laboratoires adhérents s’engagent à respecter les recommandations du SIMV (Syndicat de l’Industrie du Médicament et Diagnostic Vétérinaires) concernant leur communication produit. L’instruction des demandes s’effectue au sein d’un «observatoire de la publicité» selon trois étapes : recevabilité du cas, examen des griefs par rapport aux textes juridiques et aux recommandations, appréciation de la qualité de la réponse de la société concernée. Les observateurs sont «formés» six mois avant de devenir «titulaires» pour six autres mois. Ils sont choisis par les adhérents eux-mêmes. Les recommandations qui en découlent sont rassemblées dans le «Guide des bonnes pratiques de communication en matière de médicament vétérinaire». Informer les propriétaires d’animaux Au même titre que pour les professionnels de la santé animale, les laboratoires du médicament vétérinaire contribuent à l'information des propriétaires d'animaux et des éleveurs. Là encore, des règles strictes de déontologie sont respectées pour préserver l'indépendance du prescripteur. Le vétérinaire Internet Les campagnes grand public La distribution Les circuits de distribution Les circuits de distribution sont clairement définis et strictement encadrés par le code de la santé publique. Ainsi, les entreprises du médicament vétérinaire ou les grossistes ne peuvent distribuer directement les produits aux utilisateurs (éleveurs ou propriétaires d'animaux de compagnie). Excepté pour certains antiparasitaires externes (APE) destinés aux animaux de compagnie, la délivrance au détail est réservée aux ayants droits. Les ayants droit D'après le code de la santé publique, les ayants droit qui peuvent détenir et délivrer au détail des médicaments vétérinaires aux utilisateurs (cession à titre gratuit ou onéreux) sont : le pharmacien d’officine (21 061 officines en France [1]), uniquement sur présentation de l’ordonnance s'il s'agit d'un médicament sur prescription ; les vétérinaires (7 954 centres de soins [2]), sans toutefois qu’ils aient le droit de tenir officine ouverte, pour les médicaments qu’ils ont prescrits eux-mêmes ou qu’un des vétérinaires qui exerce au sein du même domicile professionnel administratif ou d’exercice, a prescrits ; les groupements agréés d’éleveurs sous la responsabilité des vétérinaires ou pharmaciens responsables pour les médicaments non soumis à prescription ou qui font partie d’une liste restreinte (dite liste positive) et qui sont inscrits dans leur programme sanitaire d’élevage. [1] Ordre des pharmaciens [2] L’atlas démographique de la profession vétérinaire 2020 (publié par le CNOV) La répartition des volumes En France, la délivrance des médicaments est très majoritairement assurée par les vétérinaires libéraux (68 % du chiffre d'affaire du marché du médicament vétérinaire). Le reste est réparti de entre les pharmaciens et les groupements agréés avec respectivement 12 et 20 % [3]. [3] SIMV Les circuits de distribution Les circuits de distribution sont clairement définis et strictement encadrés par le code de la santé publique. Ainsi, les entreprises du médicament vétérinaire ou les grossistes ne peuvent distribuer directement les produits aux utilisateurs (éleveurs ou propriétaires d'animaux de compagnie). Excepté pour certains antiparasitaires externes (APE) destinés aux animaux de compagnie, la délivrance au détail est réservée aux ayants droits. Les ayants droit D'après le code de la santé publique, les ayants droit qui peuvent détenir et délivrer au détail des médicaments vétérinaires aux utilisateurs (cession à titre gratuit ou onéreux) sont : le pharmacien d’officine (21 061 officines en France [1]), uniquement sur présentation de l’ordonnance s'il s'agit d'un médicament sur prescription ; les vétérinaires (7 954 centres de soins [2]), sans toutefois qu’ils aient le droit de tenir officine ouverte, pour les médicaments qu’ils ont prescrits eux-mêmes ou qu’un des vétérinaires qui exerce au sein du même domicile professionnel administratif ou d’exercice, a prescrits ; les groupements agréés d’éleveurs sous la responsabilité des vétérinaires ou pharmaciens responsables pour les médicaments non soumis à prescription ou qui font partie d’une liste restreinte (dite liste positive) et qui sont inscrits dans leur programme sanitaire d’élevage. [1] Ordre des pharmaciens [2] L’atlas démographique de la profession vétérinaire 2020 (publié par le CNOV) La répartition des volumes En France, la délivrance des médicaments est très majoritairement assurée par les vétérinaires libéraux (68 % du chiffre d'affaire du marché du médicament vétérinaire). Le reste est réparti de entre les pharmaciens et les groupements agréés avec respectivement 12 et 20 % [3]. [3] SIMV La prescription et la traçabilité La prescription La traçabilité L'obligation d'ordonnance Certaines catégories de médicaments nécessitent la rédaction d’une ordonnance par le vétérinaire. Elles sont précisées par le code de la santé publique qui spécifie l'obligation d'ordonnance. Les médicaments contenant « des matières virulentes et produits d'origine microbienne destinés au diagnostic, à la prévention et au traitement des maladies des animaux ». Les médicaments contenant "des substances d'origine organique destinées aux mêmes fins à l'exception de celles qui ne renferment que des principes chimiquement connus". Les médicaments à activité anabolisante, anticatabolisante ou bêta-agoniste Les médicaments contenant des substances vénéneuses (excepté ceux qui bénéficient d'une exonération). Les médicaments contenant une substance active pour laquelle une limite maximale de résidus est fixée dans le tableau 1 de l'annexe du règlement des LMR. Les médicaments "susceptibles d’être à l'origine d'une contravention à la législation sur les fraudes" Les médicaments susceptibles d’entraver le contrôle sanitaire des animaux Les médicaments prescrits dans le cadre de la cascade Les médicaments nouveaux contenant une substance active autorisée depuis moins de 5 ans Les aliments médicamenteux Devenir de l'ordonnance Remise de l'ordonnance au propriétaire ou à l'éleveur Conservation de l'ordonnance L’ordonnancier intègre la traçabilité des médicaments délivrés L'ordonnancier est le registre officiel tenu par l'ayant droit qui délivre le médicament. Il doit contenir les informations suivantes, qui seront conservées pendant 10 ans : un numéro d'ordre : le numéro d'inscription au registre d'élevage ou le numéro de l'ordonnance à duplicata, les nom, prénom ou raison sociale et adresse du détenteur des animaux, ou la mention "usage professionnel", la dénomination ou la formule du médicament, la quantité délivrée, le nom du prescripteur, la date de délivrance, le numéro de lot de fabrication des médicaments, la mention "médicaments remis par..." avec l'indication de l'intermédiaire qui remet les médicaments dans le cas où ces médicaments sont livrés par un intermédiaire (colisage). L’ordonnancier intègre la traçabilité des médicaments délivrés L'ordonnancier est le registre officiel tenu par l'ayant droit qui délivre le médicament. Il doit contenir les informations suivantes, qui seront conservées pendant 10 ans : un numéro d'ordre : le numéro d'inscription au registre d'élevage ou le numéro de l'ordonnance à duplicata, les nom, prénom ou raison sociale et adresse du détenteur des animaux, ou la mention "usage professionnel", la dénomination ou la formule du médicament, la quantité délivrée, le nom du prescripteur, la date de délivrance, le numéro de lot de fabrication des médicaments, la mention "médicaments remis par..." avec l'indication de l'intermédiaire qui remet les médicaments dans le cas où ces médicaments sont livrés par un intermédiaire (colisage). Le datamatrix ECC200 : un nouveau marquage pour une meilleure traçabilité Depuis quelques années, les entreprises du médicament ont adopté pour ces produits un code unique et mondial : le GTIN14. Actuellement, ce code est inscrit sur le conditionnement secondaire des médicaments vétérinaires. Ce Datamatrix ECC200, un nouveau code barre 2 dimensions, est un support "universel" qui contient plusieurs informations qui sont des éléments de traçabilité : le code GTIN14 du produit, la date de péremption, le numéro de lot. Le datamatrix ECC200 : un nouveau marquage pour une meilleure traçabilité Depuis quelques années, les entreprises du médicament ont adopté pour ces produits un code unique et mondial : le GTIN14. Actuellement, ce code est inscrit sur le conditionnement secondaire des médicaments vétérinaires. Ce Datamatrix ECC200, un nouveau code barre 2 dimensions, est un support "universel" qui contient plusieurs informations qui sont des éléments de traçabilité : le code GTIN14 du produit, la date de péremption, le numéro de lot. DÉCOUVRIR LA SUITE Next /accueil