L'arsenal thérapeutique par classe Réactifs Réactifs (et produits de diagnostic) Le diagnostic : la clef de voûte de la thérapeutique Sans bon diagnostic : pas de bon pronostic, ni bon traitement. « Commémoratifs, examen clinique, examens complémentaires, diagnostic, pronostic, traitement et prévention ». Telle est la démarche courante du vétérinaire. Le diagnostic est au centre de cette démarche. Connaître la cause d’une maladie permet de mieux la traiter et d’éviter qu’elle ne se répète à l’avenir. Image highlight texte Body Plus le diagnostic étiologique est précis plus le traitement sera ciblé, adapté, économe et efficient. L’industrie du diagnostic vétérinaire a ainsi mis au point de nombreux produits de diagnostic vétérinaire pour ce faire. Dans la plupart des cas, il repose soit sur la recherche directe de l’agent pathogène dans un prélèvement, soit sur la mise en évidence d’une réaction immunitaire, trace du passage de cet agent chez l’animal. La plupart des tests de diagnostic sont réalisés in vitro, en laboratoire d’analyses, à partir de prélèvements réalisés par les vétérinaires. Image highlight texte Body Plus le diagnostic étiologique est précis plus le traitement sera ciblé, adapté, économe et efficient. L’industrie du diagnostic vétérinaire a ainsi mis au point de nombreux produits de diagnostic vétérinaire pour ce faire. Dans la plupart des cas, il repose soit sur la recherche directe de l’agent pathogène dans un prélèvement, soit sur la mise en évidence d’une réaction immunitaire, trace du passage de cet agent chez l’animal. La plupart des tests de diagnostic sont réalisés in vitro, en laboratoire d’analyses, à partir de prélèvements réalisés par les vétérinaires. Séparer les infectés des vaccinés Leur fiabilité, donc leur fabrication, nécessite d’être irréprochable. Car, en matière de maladies contagieuses, un diagnostic faux-positif (déclarer une maladie contagieuse qui n’existerait pas) ou faux-négatif (conclure à tort à l’absence de maladie contagieuse qui se propage) peut avoir un impact sanitaire et économique élevé pour l’élevage et l’ensemble d’une filière d’un pays. Des tests de diagnostic peuvent d’ailleurs parfois permettre de différencier les animaux infectés par un agent pathogène de ceux vaccinés contre le même agent pathogène. Leur fiabilité, donc leur fabrication, nécessite d’être irréprochable. Car, en matière de maladies contagieuses, un diagnostic faux-positif (déclarer une maladie contagieuse qui n’existerait pas) ou faux-négatif (conclure à tort à l’absence de maladie contagieuse qui se propage) peut avoir un impact sanitaire et économique élevé pour l’élevage et l’ensemble d’une filière d’un pays. Des tests de diagnostic peuvent d’ailleurs parfois permettre de différencier les animaux infectés par un agent pathogène de ceux vaccinés contre le même agent pathogène. Les tests d'observation Plus rares, quelques tests reposent sur l’observation d’une réaction de l’animal après administration d’un médicament de diagnostic, notamment après une réaction allergique. Le dépistage de la tuberculose en France repose ainsi sur l’observation d’une réaction 72 heures après une « intradermotuberculination » avec de la tuberculine purifiée. Des tests non limités aux maladies infectieuses Enfin, les tests de diagnostic ne se limitent pas aux maladies infectieuses. Certains peuvent permettre de doser des hormones, les progestagènes pour le diagnostic de gestation, les hormones thyroïdiennes pour préciser l’origine de troubles cutanés… Sans bon diagnostic… Il n’y a ni de bon pronostic ni de bon traitement. Les tests d'observation Plus rares, quelques tests reposent sur l’observation d’une réaction de l’animal après administration d’un médicament de diagnostic, notamment après une réaction allergique. Le dépistage de la tuberculose en France repose ainsi sur l’observation d’une réaction 72 heures après une « intradermotuberculination » avec de la tuberculine purifiée. Des tests non limités aux maladies infectieuses Enfin, les tests de diagnostic ne se limitent pas aux maladies infectieuses. Certains peuvent permettre de doser des hormones, les progestagènes pour le diagnostic de gestation, les hormones thyroïdiennes pour préciser l’origine de troubles cutanés… Sans bon diagnostic… Il n’y a ni de bon pronostic ni de bon traitement. DÉCOUVRIR LA SUITE Next /accueil