Acteurs Le SIMV, Syndicat de l’industrie du médicament et du diagnostic vétérinaires, est le représentant en France des entreprises pharmaceutiques du secteur vétérinaire. L'industrie Le SIMV, Syndicat de l’industrie du médicament et du diagnostic vétérinaires, est le représentant en France des entreprises pharmaceutiques du secteur vétérinaire. La France est le premier pays en matière de recherche et de fabrication de médicaments et de produits de diagnostic en Europe avec 50 sites industriels et de nombreux centres de recherche. L’un des atouts majeurs de la France pour les questions de santé animale tient à la densité de ce maillage industriel, à ses expertises scientifiques et techniques reconnues et à la capacité de nos laboratoires de s’engager dans la gestion de projets R&D en réseaux et à l’international. Ces entreprises investissent chaque année 10 à 12 % de leur chiffre d’affaires en R&D. La France est le premier pays en matière de recherche et de fabrication de médicaments et de produits de diagnostic en Europe avec 50 sites industriels et de nombreux centres de recherche. L’un des atouts majeurs de la France pour les questions de santé animale tient à la densité de ce maillage industriel, à ses expertises scientifiques et techniques reconnues et à la capacité de nos laboratoires de s’engager dans la gestion de projets R&D en réseaux et à l’international. Ces entreprises investissent chaque année 10 à 12 % de leur chiffre d’affaires en R&D. Prévenir est mieux que guérir pour garantir la santé animale Les industries du médicament et diagnostic vétérinaires reprennent dans leur plan d’action, la stratégie de la commission européenne « Prévenir est mieux que guérir ». Les piliers de cette stratégie sont la prévention et la surveillance d’une part, la recherche et l’innovation d’autre part. L’objectif de cette stratégie est de travailler en réseaux pour assurer la santé animale, définie par l’absence de maladies mais aussi par le bien-être de l’animal, la santé publique et la sécurité alimentaire. Prévenir est mieux que guérir pour garantir la santé animale Les industries du médicament et diagnostic vétérinaires reprennent dans leur plan d’action, la stratégie de la commission européenne « Prévenir est mieux que guérir ». Les piliers de cette stratégie sont la prévention et la surveillance d’une part, la recherche et l’innovation d’autre part. L’objectif de cette stratégie est de travailler en réseaux pour assurer la santé animale, définie par l’absence de maladies mais aussi par le bien-être de l’animal, la santé publique et la sécurité alimentaire. Les besoins en innovation Avec la mondialisation des échanges, avec les contacts de plus en plus étroits de l’homme avec les animaux dus à une urbanisation croissante, avec les changements climatiques, il est nécessaire de répondre rapidement aux risques de maladies émergentes et aux besoins des vétérinaires pour assurer la santé animale. Pour se faire, les industries du médicament et du diagnostic vétérinaires investissent dans la recherche et l’innovation, dans la prévention et le diagnostic rapide. Les enjeux liés au développement Le médicament vétérinaire connaît un niveau élevé d’investissement en matière de sécurité du fait des bonnes pratiques de fabrication, de l’autorisation de mise sur le marché, et des instruments de traçabilité. En effet, la recherche et l’innovation sont des processus complexes et risqués pour l’entreprise. Le temps moyen de développement d’un nouveau médicament vétérinaire est de 8 à 15 ans pour un médicament innovant. Sur 1 000 molécules, une seule s’avérera intéressante. Puis sur 10 projets initiés un seul va aboutir. Malgré cela, les entreprises du médicament et du diagnostic vétérinaires impliquées dans la recherche et le développement y investissent 10 à 12 % de leurs chiffres d’affaires. La réponse aux innovations de demain : l’« open innovation » Les laboratoires mobilisés pour répondre aux besoins du marché se tournent vers l’extérieur. Les entreprises du médicament et du diagnostic vétérinaires sont entrées dans une ère d’innovation ouverte ou « open innovation » basée sur le partage. Cette façon d’innover se traduit par la mise en place de plates-formes et de réseaux d’échanges et l’intensification des partenariats public-privé et privé-privé afin de tirer le meilleur parti des savoirs de chacun. DÉCOUVRIR LA SUITE Next /accueil